L'un et l'autre sont aussi indissociables que les pensées et les émotions, explique le psychiatre Christophe André. Pour ce grand partisan de la psychologie positive, apprendre à gérer ces interactions nous permet d'améliorer notre santé.
Bonjour, Aujourd’hui une courte vidéo pour s’échauffer avant un entrainement ou un parcours ,combien de golfeurs s’entraînent ou font un parcours sans un échauffement préalable et après on s' étonne de mal contacter la balle ou mettre plusieurs trous pour bien joué rien d'étonnant , notre corps n'est pas préparé pour effectuer un geste qui demande de la tonicité et l'élasticité ,dans tous les sports on effectue un échauffement avant de jouer sauf au golf ou je vois régulierement des joueurs prendre un seau de balle ou se présenter sur le tee du 1 sans avoir réveiller son corps pour le préparer à un effort et cela plus on avance dans l'âge, plus l'échauffement doit être long .
Pensez à bien vous échauffez avant de jouer cela prend 5 minutes et vous verrez le bénéfice dés les premières balles ,en plus cela devient vraiment important quand les températures sont basses.
Aujourd'hui ,je vous présente une vidéo du tigre au master d'augusta 2005 ou il rentre un chipping improbable , ce qui est intéressant dans cette vidéo en dehors du fait que ça soit un coup de génie, c'est son attitude corporel tout au long de sa préparation ,son regard ,il vit son coup intérieurement, le visualise à aucun moment le doute s’installe en lui ,il est le chip, rien dans son attitude corporel ne permet de croire qu'il va rater son coup.
Même son attitude une fois la balle rentré dans le trou montre son implication et l'énergie mise dans la réussite de son coup .
Dans un prochain article je vous parlerais de l’attitude corporel et son impact sur le mental .
Bonjour, Aujourd'hui je vais vous parler de la "préparation physique" chez les enfants entre 8 et 14 ans ,beaucoup vont me dire que c'est impossible voir contre nature ,effectivement pendant sa croissance un enfant ne devrait pas être soumis à des exercices de fortes intensités son corps étant en pleine transformation par un cycle hormonal naturel ,la puberté . Observez un enfant dans une cours de récréation il passe son temps à courir,sauter,chahuter et rien d'anormal dans ce comportement ,on trouve cela normal il s’épanouit . Maintenant allez sur tous les terrains de sport et tous sports confondus demandez à des enfants de courir autour d'un stade ou d'un terrain et la vous allez vous heurter à la vindicte enfantine du style c'est nul ,je veux pas courir etc ,quel entraîneur ne s'est pas trouvé confronté à cette situation ? Ils veulent jouer . Personnellement pour avoir entraîné des juniors au rugby ,je peux vous dire que c'est loin d’être évident de faire passer le message de l'utilité de la préparation physique . Maintenant si on prenait le problème dans un autre sens ,dans un sens ludique en transposant la cour de récréation sur les terrains de sport en adaptant les jeux de récréation au sport . Un enfant à besoin que les entraînements soient effectué dans un but ludique ou la notion de plaisir est omni présente . Vous verrez ils seront souvent partant et voir demandeur . Maintenant si vous incluez la" préparation physique "chez le jeune golfeur d'une façons ludique à base de course de saut et de lutte ,de lancer et dans un temps très court pas plus de 10 minutes afin d'amener son corps dans des conditions optimal pour effectuer tous les mouvements de coordinations nécessaire au geste de golf ,en plus de préparer le corps à l'effort cela deviendras une routine plus tard et sera inclus dans sa préparation avant de s’entraîner ou de faire un parcours . Regardez cette vidéo avec quelques exercices de mises en conditions du corps pour effectuer un swing .
Dans un récent article je vous présentais des exercices pour gagner de la distance au drive ,voici une nouvelle vidéo ,pour tous ceux qui n'arrive pas à gagner de précieux mètres dans leur mise en jeux, la préparation physique est un des éléments qui permet de gagner de la distance avec un matériel adapté et un geste technique qui est en adéquation avec notre structure corporel .
Pour tous ceux qui pensent que la technique ou le materiel vous feras gagner les précieux métres que vous cherchez , regardez cette
video qui vous montre la préparation physique d'un joueur qui drive à 300 yards , pour gagner de la distance il faut combiner la technique adapter à votre morphologie ,le matériel et une bonne préparation physique qui complétera votre technique et vous permettra d'utiliser au mieux votre matériel .
Une courte video explicative en 3D sur la proprioception et ses effets sur la position dans l'espace de notre corps, ce qui est trés important dans la pratique du sport ,pour connaitre et savoir ou ce situe notre corps par rapport à une position ou un mouvement donné .
Bravo à l'université de Lyon pour ce travail remarquable .
Le haka est une danse chantée maori (peuple du pacifique sud)qui est interprétée à l'occasion de cérémonie ou de départ en guerre , derriere ce rituel on trouve une forme de conscience collective pour affronter un aversaire et l'impressioner , ne faire plus qu'un ,étre plus qu'une équipe ,une entitée physique et mental qui pousse à ce surpasser car l'un et l'autre et vice versa ,voila pourquoi les alls blacks effectuent ce chant pour entrer dans une forme de transe hypnotique collective tant pour les joueurs qui vont aller au combat (pacifique)que pour l'adversaire qui sait qu'il doit affronter une équipe,qui est une et indivisible . Faut pas oublier que le rugby est l'un des seuls sport collectif ou la notion de combat mise en échec d'un joueur en l'amenant au sol (plaquage) pour eviter toute progression est dans les régles du jeux de rugby .Voila pourquoi les all blacks se reunissent pour effectuer ce haka ,ils se préparent au combat à l'affrontement d'un adversaire ,ce n'est pas que du folklore .
Un article sur l'hypnose dans le domaine du sport paru dans l'équipe.fr.
L’HYPNOSE AU SECOURS DU SPORTIF
Dans la pratique sportive, il y a l’entraînement technique, physique, et, depuis plusieurs années, on prend conscience que la préparation mentale a un impact direct sur les performances. L’hypnose est une technique de plus en plus utilisée par les sportifs de haut niveau pour atteindre leurs objectifs. En quoi consiste l’hypnose ? En quoi cette technique aide-t-elle pour optimiser la performance ? Éléments de réponse avec l’hypnothérapeute Yohan Rimbert.
Faire du sport se pratique avec le corps, mais se gagne aussi avec le mental. Au-delà de l’entraînement physique et technique, l’hypnose permet de relâcher les pressions pour agir sur les qualités physiques et mentales au-delà de la conscience. Yohan Rimbert, hypnothérapeute nous explique comment, pourquoi et les bienfaits de l’hypnose dans la recherche de performance.
Depuis quand pratiquez-vous l'hypnose?
« Je pratique l’hypnose depuis ma jeune adolescence. J’ai pratiqué plusieurs années les arts martiaux, notamment le Viet Vo Dao, et avec mon père nous pratiquions beaucoup de la méditation. Cela m’a permis de mettre un pied dans ce domaine et de voir les bienfaits de la méditation sur la performance. Ça m’a motivé à approfondir cet état de relaxation. Je suis un autodidacte de l’autohypnose. L’hypnose m’a fait du bien dans le sport, mais également dans la vie.
Sur quelles pathologies l'hypnose peut-elle aider?
L’hypnose se pratique sur toute personne désirant se soigner à travers elle. Elle peut agir sur le sommeil, la confiance en soi, les différentes addictions, le stress chronique, les blocages psychologiques, la dépression, l’apprentissage accéléré (de langues étrangères par exemple), les phobies, les douleurs physiques liées au mental.
Comment pratiquez-vous l'hypnose sur des sportifs ?
Tout commence par de la méditation pour les faire « lâcher prise », puis au fur et à mesure je les plonge dans une transe-hypnotique (état d’hypnose). Une fois cet état atteint, je peux intervenir dans leur inconscient menant ainsi une thérapie de fond. Ces deux méthodes de relaxation créent une parfaite harmonie entre le corps et l’esprit. Ceci est fondamental pour des sportifs d’un tel niveau.
En quoi cela peut les aider à aller vers la performance?
Les résultats des séances sont assez rapides selon les individus et leurs besoins. L’hypnose débloque les limites psychologiques afin de pouvoir connaître ses réelles capacités physiques. Par exemple, parfois on pense ne pas pouvoir reproduire un mouvement après une blessure, la peur et le manque de confiance diminuent nos capacités. Pourtant, en état d’hypnose tout cela n’existe plus car on a accès à notre « potentiel véridique.» Le sujet se rend compte de sa peur irrationnelle et la chasse inconsciemment. De plus, l’hypnotiseur peut procéder à un ancrage (suggestion à l’inconscient qui intervient dans son quotidien une fois le sujet « réveillé ».)
Étant donné que les sportifs sont des performeurs hors norme, il est essentiel qu’ils puissent avoir un moyen efficace de se ressourcer (30 minutes d’hypnose équivaut à 6 h de sommeil), se rééquilibrer le corps et l’esprit, s’améliorer, tout le long de leurs carrières. La baisse de forme, l’insomnie, la petite dépression passagère, la pression, sont des choses courantes chez les sportifs occasionnels et de haut niveau, dues à un surmenage d’activité et d’un manque de résultats dans certains cas.
Tout cela peut être traité au travers de l’hypnose avec des effets quasi immédiats en fonction des individus.
Travaillez-vous différemment avec les sportifs, qu'avec des personnes dîtes «sédentaires» ?
À la différence des personnes dîtes « sédentaires », les sportifs sont constamment confrontés à de nouvelles problématiques et ils ont le devoir de toujours se surpasser quoi qu’il arrive. Il leur faut donc un suivi personnel beaucoup plus régulier.»
Une des journalistes de la rédaction, Jessika Guehaseim, a pratiqué une séance d’hypnose avec l’hypnothérapeute Yohan Rimbert. Impressions.
Il est vrai que lorsque l’on m’a parlé d’hypnose, j’étais un peu réticente. La seule image que j’avais de cette pratique était télévisuelle quand on voit des hypnotiseurs endormir des personnes du public. J’imagine que lorsqu’on voit ça, on pense tous la même chose : ils sont complices.
Alors, arrivée dans cette petite salle, je ne sais pas trop à quoi m’attendre. Nous sommes cinq. Pour notre première fois, Yohan Rimbert nous fait une séance commune afin de nous sensibiliser. Tout commence par des exercices simples de relaxation. La voix de l’hynothérapeute me berce, et sans m’en rendre compte, je ferme les yeux paisiblement. Je me sens bien, mon corps se détend peu à peu. Au travers de différents exercices, en alternant phases d’hypnose et de conscience, l’hypnothérapeute arrive à me détendre, moi qui souffre de stress chronique. Je lui parle de mes maux dans mes phases d’inconscience. Il travaille dessus et me rassure. La séance dure 1h.
En sortant de là je me sens apaisée, j’ai le coeur léger, je me sens différente, je me sens bien. L’hypnose a été une révélation. Pour sûr, je vais retenter l’expérience.
Un article trés intéressant sur le choix d'un capitaine par une personne extérieur (psychologue,péparateur mental etc ) est-il pertinent ?
Choisir un capitaine, la délicate mission de l’entraîneur
« Ô capitaine, mon capitaine… ! » s’exclamait le jeune étudiant dans le film « Le cercle des poètes disparus » auprès de son professeur de lettre et mentor interprété par Robin Williams. Le choix des leaders, des capitaines de l’équipe est une problématique que rencontrent tous les entraîneurs de sports collectifs. Sur quels critères s’appuyer pour faire le bon choix ? Quel joueur choisir : un meneur d’homme ou un leader de jeu ?
S’appuyer sur des leaders
Si les entraîneurs ont un rôle indéniable dans le succès de l’équipe, ils gagnent rarement s’ils ne sont pas capables de développer, de confier et de déléguer aux leaders, des tâches au sein de l’équipe(1).
Il est donc indispensable d’identifier les personnalités qui pourraient assumer et accepter ces fonctions. Cela se prépare en guidant certains joueurs autour d’exercices de commandement en situation de jeu par exemple. Il est également judicieux de laisser à ces leaders, l’initiative quant au choix de la thématique à travailler. Ainsi, ces thématiques d’entraînement peuvent reprendre les problèmes débattus entre joueurs comme : la défense, les duels, l’agressivité, la maîtrise des systèmes,…
Quand les joueurs eux-mêmes participeront à votre système, cela facilitera votre travail d’entraîneur. Au lieu d’avoir constamment à convaincre et gronder les joueurs afin qu’ils travaillent plus dur, plus sérieusement, les leaders de l’équipe aideront l’entraîneur à responsabiliser leurs partenaires. Ceux-ci adhèreront alors plus aisément aux normes et règles de l’équipe. Les meneurs ont « les tripes » pour faire face à cela et dire « allez les gars, il n’y a pas le feu, ne faisons pas comme cela ». Ils garantissent donc un travail bien conforme aux objectifs collectifs prévus. On retrouve ces attitudes au cours de match lorsque l’on voit l’un des leaders de l’équipe réunir le collectif lors d’un temps faible pour recadrer les « troupes » avec des effets positifs en termes de comportements sur la suite du match. A l’inverse, lorsque l’équipe manque de leader(s) ces regroupements ne se font pas et souvent l’équipe n’arrive pas à inverser le cours du match.
Style d’entraîneur et implication des leaders
Nous connaissons tous des entraîneurs qui obtiennent quelques résultats à l’aide d’une démarche autoritaire. Mais aujourd’hui, un nombre croissant de joueurs n’adhèrent plus aux démarches vécues par leurs « anciens », à ces ambiances de vestiaires, à ces mots durs proférés par les meneurs d’antan. Ils veulent être maintenant respectés, écoutés. Ils revendiquent le droit d’éprouver ce qu’ils pensent et peu à peu ils ont envie d’imposer leurs propres choix collectifs. Cette délégation de pouvoir ne pourra néanmoins être envisagée pour l’entraîneur, que lorsqu’un joueur aura suffisamment d’expérience et de maturité pour assumer de telles responsabilités.
Cependant, l’entraîneur doit aussi encourager les joueurs à devenir plus confiants et être plus responsables car au final ce sont eux qui agissent sur le terrain.
Si le style autoritaire peut fonctionner un certain temps, il semble toutefois que sur le long terme le succès soit plus compliqué à obtenir. L’entraîneur peut jouer de la baguette pour s’imposer mais cela peut être contre-productif et le conduire à assumer seul tout le leadership. Il risque donc, avec cette démarche prescriptive, de rendre une équipe indisciplinée et sans construction réelle d’expériences. L’entraîneur devra donc, dès que possible, chercher à développer un réel leadership au sein du groupe.
Ambiance et vie de groupe : rôle du capitaine
L’ambiance et la vie de groupe appartiennent certes essentiellement aux joueurs mais si les leaders doivent en être les piliers, l’entraîneur peut aussi générer cette vie. Les phénomènes de paresse à l’entraînement, d’absences, de contestation doivent alerter l’entraîneur sur ce qui se passe dans l’équipe. Les leaders peuvent prendre la parole pendant les entraînements pour reprendre ces comportements déviants et conférer une légitimité au discours de l’entraineur.
Aussi, l’ambiance des entraînements, la fraternité qui peut y régner sont principalement le fait de l’entraîneur. Par ailleurs, si la possibilité d’organiser des évènements avec toute l’équipe peut être de l’initiative de l’entraîneur, celui-ci doit mettre le capitaine dans la confidence pour s’assurer de l’impact que cela peut avoir sur le groupe. Une anecdote à ce sujet : au retour d’un ¼ de finale de coupe d’Europe perdu par les rugbymans de Clermont Ferrand chez les irlandais du Leinster, les joueurs étaient convoqués le lundi matin très tôt pour un entraînement qui s’annonçait musclé. L’entraîneur Néo-Zélandais Vern Cotter et Aurélien Rougerie, le capitaine emblématique du club, les attendaient dans le vestiaire avec deux poubelles remplies de bières…ils voulaient les féliciter du match produit, leur dire que l’élimination n’était pas méritée et que l’aventure devait se poursuivre avec le championnat. Clermont fut sacré pour la première fois de l’histoire champion de France cette année-là…
La sélection des joueurs influents et des capitaines
C’est un fait : tous les entraîneurs savent qu’il faut choisir des leaders afin d’avoir des relais sur le terrain pour faire passer un message, de permettre à l’équipe de résister mentalement dans les moments difficiles d’une rencontre, de l’informer sur les difficultés rencontrées par l’équipe et des différentes tensions qui peuvent exister et de le seconder dans le maintien et les normes de vie du groupe.
C’est parce que les meneurs sont aussi importants que l’entraîneur doit vraiment les prendre en considération et les aider. Mais quel est le meilleur moyen de sélectionner votre capitaine d’équipe ? Diverses options s’offrent à l’entraîneur :
1. L’entraîneur choisit le capitaine
Évidemment, lorsque l’entraîneur choisit le capitaine, il doit sélectionner la personne qu’il sent capable de bien réaliser ce travail, et avec qui il pourra collaborer efficacement. Mais autant cette option peut paraître bonne, autant il risque aussi de choisir un joueur qui n’est pas respecté par ses coéquipiers. De plus, il prend un gros risque de beaucoup travailler loin de l’équipe sans évaluer les effets de sa tâche. Ainsi par exemple, le fait de choisir un joueur exemplaire sur le comportement, et en compétition ne permet de réunir avec certitude les conditions requises pour être capitaine : il faut qu’il soit écouté, respecté, empathique et surtout altruiste envers tous ses coéquipiers. Les conséquences peuvent être lourdes car en plus de ne pas être écouté, il ne peut faire passer aucun message et pire il cristallise à lui seul tous les maux de l’équipe lorsqu’elle se trouve en difficulté. Il peut se retrouver alors exclut du groupe et une scission peut survenir entre le joueur, l’entraîneur et le groupe.
2. Les joueurs choisissent le capitaine
Une deuxième option est de laisser les joueurs élire le capitaine. Ceci, naturellement, a l’avantage de montrer aux joueurs que l’entraîneur les respecte assez pour reconnaître qu’ils peuvent se déterminer dans cette tâche. De plus, ils peuvent choisir une personne qu’ils respectent. Cependant, il faut réfléchir si ce vote n’est pas un concours de popularité. Ils peuvent en effet voter pour la personne qu’ils respectent et qui peut effectivement mener l’équipe. L'inconvénient est que votre équipe peut éventuellement sélectionner quelqu'un que l’entraîneur n’apprécie pas, ou qui selon lui ne peut pas être un capitaine efficace. Ainsi, il existe un véritable danger d’utiliser cette technique, à moins qu’il ait une grande foi en votre équipe et sa capacité à effectuer un bon choix, et qu’il serait serein de suivre leur choix.
3. Créer un groupe de joueurs influents
Une autre option est de permettre aux joueurs de déterminer un groupe de meneurs. Ces groupes se composent de joueurs adultes et se réunissent pour gérer l’équipe, donnant des informations ou des feedbacks au staff d’entraînement, et ne prennent aucune mesure disciplinaire. Par exemple, c’est ce que l’on trouve traditionnellement dans l’équipe de rugby de Nouvelle-Zélande, où ces joueurs, ayant le plus d’expérience en termes de matchs joués, assument par tradition le rôle de capitaine. Ce sont des joueurs qui ont effectivement bien intégré les normes et les règles de fonctionnement de ce rôle. Dès qu’ils obtiennent cette place, ils doivent assurer et s’occuper des affaires à gérer. Cependant, si c’est culturellement intégré en Nouvelle Zélande, ce n’est pas forcément transposable ailleurs. Néanmoins, ce qui est important à prendre en considération est le niveau de maturité des joueurs et les habiletés à commander.
4. Pas de capitaine officiel
Certains entraîneurs pensent que le commandement d’une équipe est important, mais n’aiment pas l’idée de nommer un capitaine officiel. Au lieu de cela, ils disent aux joueurs que chacun d’eux doit avoir l’âme d’un capitaine. Ils ne ressentent pas le besoin d’être relayé par un meneur, mais ils établissent ensemble les objectifs pour l’équipe. Chaque individu doit sentir comment il peut s’investir et mener l’équipe quand c’est nécessaire. Ric Charlesworth, l’entraîneur de l’équipe féminine de hockey australienne qui remporta récemment les championnats du monde fait partie de cette catégorie d’entraîneurs. Il a soulevé un problème dans le monde du hockey avec cette conception où aucun leader ne surveille et guide personne.
Bien que ces entraîneurs ne nomment pas de capitaine, ils ont normalement des relais avec des joueurs pour impulser des orientations, pour leurs fournir des informations. Ce n’est pas une conception traditionnelle pour travailler, mais si l’entraîneur a une équipe mature avec plusieurs meneurs, elle peut être une voie intéressante à envisager.
5. L’entraîneur choisit les capitaines après avoir consulté l’équipe
Les joueurs peuvent voter de manière anonyme pour désigner leur capitaine. Dans ce cas, l’entraîneur peut s’appuyer par la prise de décision collective de la force de ce choix même si au final il lui revient de choisir parmi les différents élus. Il peut également s’interroger, lors du vote, de la non présence des certains joueurs parmi tous ceux cités…il y a là peut être un problème avec ce(s) joueur(s).
Cette option discrète peut être adoptée si l’entraîneur pense qu’elle est préférable dans certaines situations après avoir étudié les avis. Cette option permet de désigner le capitaine, mais l’entraîneur peut aussi annoncer un groupe de meneurs efficaces pour aider le capitaine dans son travail.
De plus en plus équipes actuelles de haut niveau, opèrent avec un co-capitaine, où comme ce fut le cas dans l’équipe britannique championne du monde de rugby : Ben Kay pour les lancements pour la touche, M.Jonhson pour les relations avec l’arbitre et la relance du groupe, ou encore avec l’équipe de France de handball avec N.Karabatic pour les choix de jeu et D.Dinard pour l’organisation défensive.
Conclusion
Le choix des leaders a un impact considérable sur les performances de l’équipe et il est parfois problématique pour les entraîneurs soit par paresse, par manque de temps ou encore parce que culturellement le capitanat est attribué au même joueur. Dès lors, l’une des missions principales de tout entraîneur, sera de générer une force collective à l’écoute du ou des leaders pour profiter de la force potentielle du groupe en tant qu’entité par l’amélioration de la filiation du discours de l’entraîneur, et ce, dans le but d’accroitre l’efficacité collective à court, moyen et long termes.
Loïc LEGUELLEC UPEC
Bibliographie
(1) “Developing Team Leader in NewZealand Rugby”, Dave Hadfield, In Rugby Football Union site; Traduction par M.Verges, ASM.
Aujourd'hui je vous présente un circuit training effectué par Camillo Villegas ,qui renforce toutes les parties du corps mises en action dans un mouvement de golf .
De plus en plus les joueurs professionnels intégrent dans leur entrainement une grande part de physique pour permettre à leur corps de résister aux contraintes du swing, qui est devenu de plus en plus contraignant physiquement .
Cette video n'est qu'un apercu de ce que les pros effectuent comme préparation physique , maintenant imaginez si vous integriez une infime partie de ce que les joueurs pro font en préparation physique dans votre entrainement ,les bénéfices seraient considérables dans votre apprentissage technique du swing .
Un excellent exercice physique de golf qui va vous aider à augmenter la stabilité de la partie inférieure du corps, et la mobilité de la partie supérieure .Tourner autour d'une jambe contribue à développer un meilleur équilibre ou proprioception et donne plus de stabilité au bas du corps. Pour effectuer cet exercice mettez vous debout sur une jambe et maintenez votre position . Levez une jambe et étender la derrière votre corps,ensuite, croisez vos bras sur votre poitrine, concentrez-vous pour garder le bas du corps stable . Assurez-vous également que vous avez une légère flexion de la jambe en contact avec le sol . Commencez à tourner votre buste autour de votre jambe en appui et faites 15 répétitions. Passer à l'autre jambe et répétez l'opération pour 15 répétitions. Cet exercice vous aidera non seulement à accroître la stabilité de la partie inférieure du corps (pour eviter le fameux sway),et la mobilité du tronc . Rappelez-vous c'est votre hanche et non votre dos qui tourne
Cet exercice vous montre comment utiliser un médecine-ball pour vous aider à tourner autour de votre axe et de ne pas glisser vos hanches et empécher le fameux sway. Enfin, cet exercice vous aidera à garder les bras connecter au corps et de permettre aussi l'extension maximale de vos bras , qui comme nous le savons réduit l'effet de levier et une perte de puissance.
La médecine-ball est l'un des meilleurs outils que vous pouvez utiliser pour améliorer votre swing de golf.
La méditation est un ensemble de pratiques spirituelles ou
religieuses qui existent depuis des millénaires aussi bien en orient qu’en
occident.
Nous parlerons dans cet article de l’approche laïque de la
méditation dite de « pleine conscience » (Vispassana) en anglais
« mindfulness » qui consiste à s’entraîner, à rester dans le moment
présent, et à développer des mécanismes attentionnels et de
concentrations.
La méditation de pleine conscience permet de s’entraîner à
voir « les choses comme elles sont » et de créer une relation
avec son soi intérieur sans jugement, aussi bien dans les sensations que dans
les émotions et réactions mentales.
Le golf est un sport ou l’équilibre entre le geste technique
« swing » et de longues
périodes d’attentes est dits asymétriques, c’est à dire qu’il faut
alterner un geste bref et techniques et des périodes de marche ou d’attente
plus ou moins longue. Le golfeur doit dont acquérir des qualités qui lui
permette de gérer les pensées parasites, qui peuvent briser le fragile
équilibre émotionnel entre chaque coup de golf, ses qualités sont une
concentration sans faille mais tout étant détendu tant dans la marche que
pendant les moments d’attentes, une appréciation technique et mentale des
paramètres externes : vent,soleil,pluie, trajectoire et distance ,choix de
clubs et un relâchement total de tout le
corps au moment d’effectuer son swing (geste ,signature gestuelle propre à
chacun ) .
Dans notre civilisation occidentale nous avons privilégiés
la méthode scientifique, biologique et psychologiques tout cela bien paramétré
sont l’assurance d’une performance de la machine humaine
A l’inverse, dans la tradition orientale on considère que le
corps est animé de l’intérieur par l’esprit
l’approche devient alors totalement différente, d’une méthode développé par une approche scientifique et pragmatique,
une capacité plus vaste vient ce substituer a cette méthode, une capacité à
voir, ressentir ou entendre , la trajectoire de la balle et l’art du faire sans
faire le fameux lâcher prise .
Méditer donc c’est
entraîner l’attention. A
l’identique de la
préparation physique, où il est
nécessaire d’augmenter la charge de travail pour obtenir un effet (par exemple en musculation on peut ajouter
des kilos), en méditation il s’agit d’accroître la résistance en se centrant
sur des choses en apparence de moins en moins captivantes. Pour discipliner son
esprit, il est indispensable de pratiquer des exercices « ennuyeux » au premier
abord comme : s’asseoir, fermer les yeux et porter son attention sur la
respiration.
L’entraînement à la méditation de pleine conscience (les
bases)
• La position : se
pratique généralement assis en tailleur (lotus, semi-lotus, etc. en fonction de
votre souplesse) sur un coussin ou assis sur une chaise, les pieds au sol et le
dos décollé du dossier. Le dos est droit, la tête droite et le menton
légèrement rentré. Les mains peuvent être simplement posées sur les cuisses.
• Etape n°1 : porter
son attention pendant plusieurs minutes sur les sensations de sa respiration.
Au début, en se centrant sur les zones ventrale et thoracique, puis avec plus
de pratique sur une zone plus subtile : la sensation du souffle dans la zone
des narines et juste au-dessus de la lèvre. Lorsque je constate que mon «
courant de conscience » s’évade, je ramène mon attention, tranquillement,
simplement et sans jugement, sur le souffle. Au fil des séances, l’esprit se
calme et le niveau de concentration augmentant, il est temps de passer à la
seconde étape.
• Etape n°2 : porter,
maintenant, son attention sur l’ensemble des sensations corporelles. Il est
intéressant de « scanner » son corps dans un ordre bien déterminé, de la tête
aux pieds et inversement, partie par partie, afin d’accorder autant d’attention
à chacune des
parties ; que
les sensations que
j’accueille soient agréables,
douloureuses ou
neutres. Je m’exerce ainsi à ne pas réagir par un
attachement excessif à des sensations agréables ou par une fuite constante face
à des sensations désagréables (équanimité). Lorsque je constate que mon «
courant de conscience » s’évade à nouveau, je ramène mon attention, avec
bienveillance, sur la partie corporelle à observer.
• Temps et fréquence
des séances : il est préférable de privilégier la régularité des séances à la
durée de la séance. Faire 5 à 10mn par jour, au début, plutôt que tenter le
défi de tenir une heure assis sans bouger de temps en temps.
Il est généralement conseillé de faire des séances d’une
durée comprise entre 20 et 40mn, régulièrement.
Si le principe de la méditation est simple (s’assoir et
respirer), sa mise en pratique demande une bonne dose de discipline car, à la
fois, notre fonctionnement cérébral et notre fonctionnement social s’opposent à
cette simplicité d’être.
Cette video va vous permettre de vous initier a la meditation par l'intermediaire de Christophe André.
Le
golf est un sport exigeant avec un « jeu » de pivot (rotation) important du
corps. Les muscles responsables des rotations sont majoritairement les
abdominaux. Par leur situation anatomique, les abdominaux sont le centre de
transmission de la force dans le corps et principalement des membres inférieurs
vers le tronc. Un déficit à ce niveau entrave donc l'efficience de certains
gestes sportifs (mauvaise transmission d'énergie) et peut également induire des
blessures au niveau lombaire. Le travail des abdominaux est toujours accompagné
par le renforcement de sa partie postérieure, les lombaires, région très
fragile chez le golfeur et exposé aux blessures dues aux nombreuses rotations.
Une video pour ceux qui ne pourront pas jouer cet hiver et,qui vous permet de rester en forme , afin de pouvoir reprendre le golf au printemps en pleine forme .